I. Géologie d'un porc en reptation
D'après ce que professent les menteurs et autres mystificateurs, la démocratie, régime politique suprême (selon eux), étymologiquement parlant, viendrait du grec "démos" (peuple) et "cratos" (régime, pouvoir). Insinuant par là, que ce régime politique tant loué par les sionistes, serait celui où (enfin) le peuple serait souverain. Mais c'est l'Histoire même de ce système politique qui vient infirmer une définition aussi fausse, aussi erronée, aussi viciée de la démocratie!
Ce leurre politique que constitue la démocratie, il faut avoir le courage de le rappeler, est né en terre d'homosexualité, d'esclavage, d'impiété, de misogyne, de pédérastie, d'inégalité, d'exclusion, en somme dans l'antiquité athénienne du cinquième siècle avant JC.
Force historiens contemporains de cette période, tel Thucydide par exemple, attestent du fait que la démocratie athénienne se traduisait par la confiscation du pouvoir par un "peuple élu" représentant moins de 5% de la population:les Citoyens. Le reste de la population, femmes incluses, ne possédaient aucun droit, étant réduit au statut d'esclave au mieux à celui de métèque (étranger). La démocratie athénienne se présente au monde comme un système esclavagiste où 5% de la population dicte sa loi au 95% restante.
Ce système inique ayant élevé l'homosexualité, la pédérastie, l'esclavage, la misogyne, l'exploitation, la xénophobie au rang de modèle indépassable de la morale est bel et bien ce, qu'aujourd'hui, les sionistes souhaitent nous voir accepter comme la perfection même, l'horizon infranchissable de toute expérience politique, de toute aspiration collective.
Or quand nous convoquons les textes sacrés pour les interroger sur l'identité de l'auteur de la décadence morale, politique, éthique, sociale, économique, esthétique, spirituelle, qui gangrène toute l'Humanité, tous sont unanimes:le responsable se nomme Apep, le Démon!
La question que nous devons nous poser est la suivante: est-ce que le Démon peut instaurer autre chose que la DEMONcratie? Quel autre régime politique peut-il mettre en place si ce n'est la DEMONcratie? En quoi pourrait se caractériser la DEMONcratie si ce n'est par la décadence spirituelle (mécréance), morale (homosexualité, pédérastie), sociale (misogyne), éthique (esclavage), économique (exploitation), etc.?
Apep, le Démon, avec son cortège d'élus, son "peuple élu", aime à nous tromper, à inverser les valeurs, à faire passer le mal pour le bien, le laid pour le beau, l'iséfétique pour le ma'âtique, le virtuel pour le réel, etc. Dans son expertise, en matière de duperie, de tromperie, de stellionat, il (le Démon) aime à voiler les choses, à les masquer, à les maquiller, à les falsifier, à les manipuler à des fins diaboliques. Aussi quand il doit nous vendre, nous présenter son régime politique, jamais il ne fera montre de franchise. Jamais il nous déclarera ouvertement qu'il souhaite installer la DEMONcratie. Il préférera nous berner, nous piéger, nous tenter avec des leurres, des illusions, des tours de passe-passe, de la poudre au yeux. Et pour se faire, il se munit d'une "démo", d'un échantillon attrayant, d'un prototype alléchant! Tous les escrocs procèdent de lui (le Démon): ils sont prêts à nous vendre aux prix fort des florilèges de maladies, des montagnes de contre-façons, et des océans de camelotes de tout genre, en usant avec science de la fourberie du Démon. D'où leur excellence dans la manipulation, dans la falsification.
Ainsi quand le Démon veut nous vendre la DEMONcratie, il préférera passer par un succédané, une "démo", à savoir la DEMOcratie. La DEMOcratie, à entendre ses apologistes, serait synonyme de Liberté, d'Egalité, de Fraternité, de Justice, de Paix, d'Amour, de Dignité, de Prospérité. Du moins c'est ce que les sicaires démocrasseux nous promettent. Mais n'est-ce pas sous la tente de la démocratie que l'esclavage fit rage en Europe et dans les Amériques? N'est-ce pas sous l'aire de la démocratie que deux bombes atomiques furent largués sans vergogne sur des populations civiles sans défenses au Japon? N'est-ce pas encore sous la parapluie de la démocratie que se développa l'industrie de la pornographie, du tourisme sexuel, de la gay-lesbienne-trans-et-bi-pride? N'est-ce pas sous l'ère de la démocratie qu'avança frénétiquement l'athéisme, le matérialisme, le nihilisme, la haine de Dieu, de la morale? N'est-ce pas un univers de démocratie qui inonda le Vietnam de napalm, noya l'Iraq et la Serbie sous un tapis de bombes? Le pillage organisé par les multinationales prédatrices aux mains de la haute finance internationale n'est-il pas le fruit et le fait de la démocratie?
Nous le voyons bien la DEMOcratie est le cheval de Troie de la DEMONcratie. Toute personne avisée aura compris que le Démon a bel et bien installer, sur nos terres, la DEMONcratie, en prenant soin de se voiler et de la voiler. Si l'on devait suivre les délires des chantres de la DEMONcratie, on pourrait penser que la DEMOcratie c'est la DEMONcratie sans HAINE. Mais en vérité, la DEMOcratie c'est la DEMONcratie sans "N", car il n' y a pas de DEMOcratie sans HAINE.
L'archéologie des mo(r)ts en reptation nous montre qu'il suffit d'un peu de "HAINE/N" pour passer d'un univers de "démos" à celui de "démons". C'est justement pour assurer son expansion et sa préservation, dans le temps et l'espace, que la DEMONcratie s'est dotée d'organes de conservation. Une étude serrée de ces organes de conservation DEMONtrent la mainmise de la pieuvre démoniaque.
II. Coloscopie d'un porc malade
Les institutions démocratiques sont généralement bipolaires. Elles sont composées d'un gouvernement et d'un parlement. Le chef suprême de tout cet appareil étant le président.
a)Le Président
Celles et ceux qui sont encore dans l'ergastule du démon, pensent naïvement que "président", vient étymologiquement du latin "pre-sedere" (celui qui est assis (sédéré) en premier (pré)). La vérité, c'est que "président" vient plutôt du latin "praendis" qui signifie "protecteur". L'exercice de la fonction de président dans la sphère démocratique confirme cette étymologie. Il suffit pour s'en convaincre d'éplucher les nombreux discours et déclarations d'un Bush, ou d'un Sarkozy où ces derniers se présentent effectivement en protecteurs d'Israël et non en "premier assis".
b)Le Gouvernement
Le gouvernement est composé de ministres. Ministre renvoie étymologiquement à deux réalités: celle du "serviteur" (ministère) et celle du "petit" (minus). Ces "minus" se pensent importants, se pensent grands mais se mentent à eux-même, car en dernière analyse, ils sont au service (ministre) de leur protecteur (président). Le cas Fillon, Premier Ministre, donc Premier Minus, Premier Serviteur du Protecteur (Sarkozy) est assez parlant.
Tous ces minus, au service du protecteur (président) dirigent (gouvernent) le navire de menteurs, de démons. Car "gouverner" renvoie à la logique de "direction d'un navire". Or les textes sacrés nous rappellent qu'Apep (Démon) est celui qui, avec ses ministres (ses minus, ses serviteurs) tentent de prendre le contrôle de la barque solaire pour la diriger en des eaux obscures. Apep et son "peuple élu" veulent gouverner, diriger (la barque solaire).
D'où le fait que le Gouvernement est le lieu où le minus, le serviteur (ministre) du protecteur (président) "gourverne et ment". Le Gouvernement de la DEMONcratie, en effet, dirige le navire de la Nation mais lui ment sur la destination, en ce sens il "gouverne et ment".
Aux USA, pour camoufler davantage ses intentions prédatrices, la DEMONcratie à délaisser le terme "gouvernement" pour lui préférer celui d'"Administration" (administre à Sion). Mais là encore, la logique de "serviteur" du "sionisme" ne peut échapper à l'analyse. La politique étrangère des USA ne peut que confirmer ce que nous avançons tant ce pays est au service du sionisme, au service d'Israel.
c)Le Parlement
Le Parlement se compose de députés. La vulgate sioniste veut que "député" s'originise du latin "deputare" qui signifie "émonder, élaguer, couper". Nul besoin d'avoir été reçu premier ou première à la Per Ankh Atonienne pour comprendre qu'une telle étymologie ne renvoie en rien, à ce qu'est un "député".
Nous avons vu précédemment que le Démon était et est maître en manipulation, en falsification. En enlevant, ou en rajoutant une seule lettre à un mot, il est capable de nous déstabiliser, de nous berner et de fausser notre compréhension de ce qui, alors, était claire et limpide.
Député ne vient non pas de "deputare" mais plus justement de "putere" duquel découlent les termes comme "pute, puer, être pourri, purulent, etc". Est-il besoin de rappeler à notre mémoire les affaires "puantes" du sang contaminé, des malversations, des faux et usage de faux, des pots-de-vins, de clientélisme, des mœurs (putes), de l'Angolagate, des financements occultes, etc. auxquels sont mêlés un nombre incalculable de "pourris", de "députés", pour se convaincre de la validité d'une telle étymologie?
Là ou le ministre (minus, serviteur, larbin) "gouverne et ment" au Gouvernement, le député (pus, pourri, pute) lui "parle et ment" au Parlement.
d)Le "Vote"
D'un mot, nous pouvons dire que l'institution suprême, la "banane" suprême de ce système inique qu'est la DEMONcratie se matérialise dans le "vote". Celles et ceux qui sont aguerris à la manipulation sioniste auront compris que le "voTe" ne masque rien d'autre que le "voLe". L'élection de force sionistes, tel un Bush, suffit à nous convaincre de cette assertion.
III. Conclusions
Ce court voyage dans les eaux, osons le néologisme, poison-neuses de la DEMONcratie nous ouvre les yeux sur une réalité, celle du mensonge inhérent à ce système politique qui aime à se faire appeler DEMOcratie. Un régime politique qui a besoin de faire régner la terreur, la maladie, la pauvreté, la guerre, la haine, la décadence des mœurs, la nihilisme, le pessimisme, l'athéisme, la loi de la masse abrutie, la logique de l'immédiateté, de la superficialité, de la barbarie, de la brutalité, de la prévarication, de la prédation, de la reptation, de la corruption. La démocratie est corruption-corruptrice qui se nourrit de morts, de sang. Là où elle promet la liberté règne l'asservissement; là où elle chante l'égalité prédomine la discrimination; là où elle professe la transparence brille l'obscurité; là où elle dit la paix s'y installe la guerre; là où elle invoque la justice s'y complaît la torture. La Démocratie, parce que démoniaque par essence, pousse le peuple à décapiter le roi, le dévot à haïr Dieu voire à Le nier, la femme à combattre l'homme, l'homme à battre l'enfant, l'enfant à faire le trottoir, le digne à mépriser le nationaliste, le sédentaire à s'exiler, le Véridique à mentir, le Juste à se fourvoyer, se compromettre, se vendre!
Ces démocrates sont nombreux à promettre monts et merveilles, mais jusqu'à lors aucune promesse n'a été tenue, pire encore, celles et ceux qui ont eu le malheur de les croire sur parole se sont fait rôtir avec leur propre graisse.
Pour parvenir à ses fins la démocratie peut bombarder, installer, maintenir, soutenir des dictatures, des dictateurs, l'apartheid. Là où la Justice postule la Direction par les Meilleurs pour le bonheur de tous, la démocratie, elle, impose la loi de la masse (abrutie) à tous, la victoire de la quantité sur la qualité.
Une telle tendance ne peut en aucun supporter la Justice, le Vrai, le Beau, le Bon, l’Ordre, l'Harmonie, la Rectitude, la Droiture en dernière analyse Dieu. Voilà pourquoi la démocratie combattra TOUJOURS avec la plus grande brutalité tout régime théocratique. Car nous le savons, la théocratie (théos, Dieu) procèdent de Dieu. Or quel est l'être qui est le plus farouche adversaire de Dieu si ce n'est Apep, le Diable, le Démon? La Démoncratie s'accommode fort bien de l'apartheid, de la dictature, de l'impérialisme, du sionisme, de l'esclavagisme, du colonialisme, mais JAMAIS il ne supporte la THEOCRATIE. Jamais il ne supporte l'évocation même du nom de Dieu.
Aussi s'attelle-t-elle à corrompre, à tromper un maximum de personnes afin qu'elles s'aliènent combattent contre leurs propres intérêts en claironnant à tout-va leur amour de la démocratie, la nécessité absolue de la démocratie, l'indépassabilité métaphysique de la démocratie.
Seul le retour aux sources nouniques du savoir, donc à la spiritualité, donc à l'orde divin (la Ma'at, Maaticratie) peut briser cette dynamique démoncratique! L'Histoire du Fara Geb, époux de la Grande Reine Nout, opposé aux fils d'Apep, est le meilleur exemple que nous puissions fournir pour illustrer nos propos. Et c'est de ce retour (à la ma'ât) dont il question dans le discours, le combat, la lutte que mènent Kémi Séba et la Génération dont il est à la tête!